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Supply Chain Planning : tout ce qu’il faut savoir pour planifier efficacement sa chaîne logistique

Published on 12 December, 2025
Last Updated 12 December, 2025
14 min
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50 % des entreprises françaises s’inquiètent des perturbations logistiques qui menacent leurs capacités de résilience face aux aléas du marché, selon l’étude annuelle de la Banque européenne d'investissement (BEI), publiée en décembre 2025. Pour faire face à cette incertitude, de nombreuses organisations industrielles et logistiques se tournent vers la planification de la supply chain. Il s’agit d’un ensemble d’actions qui transforme leurs prévisions (Forecasts) en décisions opérationnelles cohérentes, afin de sécuriser les approvisionnements, de stabiliser la production, de prévenir les ruptures et d’optimiser les tournées de livraison.

Qu’est-ce que la Supply Chain Planning ? Comment la mettre en place et en tirer le meilleur parti ? Shiptify répond à toutes vos questions dans ce guide pratique.

  1. Qu’est‑ce que la planification de la supply chain ?
  2. Les 3 formes de planification de la supply chain
  3. Planification VS. exécution : une distinction clé pour la performance
  4. Quels sont les enjeux du supply chain planning en 2025-2026 ?
  5. Les 5 piliers d’un plan de supply chain performant 
  6. Les étapes clés pour concevoir un système de planification efficace 
  7. Comment choisir le bon outil de planification (TMS / APS / module Planning) ? 
  8. Meilleures pratiques à adopter et erreurs fréquentes à éviter dans la planification d’une supply chain
  9. Perspectives : vers un supply chain planning intelligent et durable ?
  10. FAQ



Qu’est‑ce que la planification de la supply chain ?  

La planification de la supply chain, ou SCP pour Supply Chain Planning en anglais, désigne l’ensemble des méthodes, processus et outils utilisés pour anticiper les flux logistiques et informationnels ; de la demande client jusqu’à la livraison finale. Elle vise à aligner ventes, production, stocks, transports et distribution pour garantir un niveau de service fiable, tout en maîtrisant les coûts, les délais et l’empreinte carbone.


Les 3 formes de planification de la supply chain

Le Supply Chain Planning s’articule autour de trois niveaux complémentaires, bien que chacun relève d’horizons distincts et mène à des décisions différentes.

1. La planification stratégique

La planification stratégique structure les grandes orientations de la supply chain sur plusieurs années en termes de :

  • choix des sites de production ;
  • localisation des entrepôts ;
  • stratégies d’acheminement ;
  • politiques d’approvisionnement ;
  • investissements technologiques.

Son objectif est de bâtir un réseau logistique robuste capable d’absorber les évolutions du marché, de la réglementation et des volumes.

Autre particularité de la planification stratégique : ses analyses s’appuient sur des données externes (tendances macroéconomiques, normes européennes dont les réglementations CO₂ et les obligations douanières, coûts logistiques internationaux, etc.).

2. La planification tactique

Sur un horizon trimestriel ou annuel, la planification tactique s’intéresse au dimensionnement des ressources : capacités de production, niveaux de stocks, contrats transporteurs, gestion des pics saisonniers. C’est à ce niveau que se construisent les processus S&OP / IBP, indispensables pour aligner finance, ventes, production et logistique autour d’un scénario commun.

 

Définitions :

  • Le S&OP (Sales & Operations Planning) est un processus mensuel qui aligne les ventes, la supply chain, la production et la finance autour d’un plan unique. Il vise à synchroniser la demande et les capacités pour décider des volumes à produire, acheter, stocker et transporter.
  • L’IBP (Integrated Business Planning) est une évolution du S&OP. Il intègre, en plus des opérations, la finance, la stratégie, les budgets et les scénarios à long terme dans le but de piloter l’entreprise de façon globale, en reliant la planification supply chain aux plans financiers et aux objectifs business.

3. La planification opérationnelle

La planification opérationnelle couvre les décisions du quotidien : ordonnancement, allocation des stocks, planification des tournées, créneaux de production, rendez-vous transporteurs, etc. Son objectif consiste à exécuter le plan tactique en ajustant les décisions en temps réel et selon les aléas (retards fournisseurs, emballages manquants, congestion entrepôt…).


Planification VS. exécution : une distinction clé pour la performance

La réussite d’une supply chain repose autant sur la qualité du plan d’action que sur sa capacité à être exécutée :

  • La planification (Planning) vise à prévoir, simuler, arbitrer et synchroniser les flux. Elle s’appuie sur des données consolidées, dans un ERP par exemple, des prévisions (Demand Planning) et des scénarios (APS).
  • L’exécution (Execution) renvoie aux opérations : réception, picking, chargements / déchargement, livraisons. Les outils d’exécution tels qu’un TMS, un WMS ou un module de gestion de quai (Dock Appointment Scheduling) orchestrent les tâches terrain.

Une frontière claire doit exister entre les deux. Un plan n’a d’impact que s’il est opérationnalisé sans friction, ce que confirment les entreprises ayant digitalisé à la fois leur partie Planning et leur partie TMS/WMS, à l’instar de ce retour d’expérience d’un client de Shiptify.


Quels sont les enjeux du supply chain planning en 2025-2026 ?  

Le Supply Chain Planning est une méthodologie qu’il faut adopter absolument pour faire face aux aléas de marché et rester concurrentiel.

Pressions actuelles : incertitudes globales, volatilité de la demande, contraintes ESG et réglementations

Les chaînes logistiques évoluent dans un environnement où les ruptures deviennent la norme : guerres, remaniements tarifaires et mutations géopolitiques forcent des révisions rapides des réseaux d’approvisionnement et des sites de production. Une enquête McKinsey en 2024 identifie la volatilité et les perturbations comme des risques majeurs. Elle montre que de nombreuses entreprises restent vulnérables face aux chocs.

Face à ces incertitudes, les entreprises réajustent leurs réseaux : 73 % d’entre elles ont modifié leur maillage industriel ou logistique ces deux dernières années pour améliorer leur résilience (Gartner). Cette tendance inclut la relocalisation partielle, near-shoring, et la diversification des fournisseurs

En parallèle, les obligations réglementaires européennes se durcissent :

  • les normes CO₂ pour véhicules lourds ;
  • l’extension du système d’échange d’émissions (EU ETS) à certains transports maritimes ;
  • les exigences de reporting (CSRD) imposent de prendre en compte les émissions scope 1–3 lors de la planification.
  • le planning doit désormais intégrer les mesures ESG (indicateurs mesurant la stratégie RSE), les contraintes de conformité et le reporting opérationnel.

Besoin d’agilité et de visibilité face à l’incertitude

Le planning devient un levier pour conjuguer performance économique et contrainte climatique. Ses objectifs :

  • réduire les frais logistiques ;
  • diminuer les délais ;
  • abaisser l’empreinte CO₂ par des choix de routage, des modes de livraison alternatifs et de meilleures consolidations.

Exiger de la résilience et de la réactivité face aux crises

La résilience est la capacité à absorber un choc sans dysfonctionnement majeur. Les incidents répétés de 2020 à 2024 ont montré que planifier sans prévoir de plans alternatifs est insuffisant. La leçon tirée est que l’organisation doit 

  • simuler scénarios ;
  • maintenir plusieurs options de fournisseurs ;
  • avoir des mécanismes d’escalade.

McKinsey et d’autres observatoires notent que peu d’organisations ont encore un dispositif complet d’orchestration résiliente. Or, les entreprises de logistique, quelle que soit leur taille, doivent s’armer d’une méthode de planification rigoureuse.

D’ailleurs, le TMS Shiptify a été conçu dans cette optique. Multi-transporteurs et multi-entrepôts, le logiciel vous aide à paramétrer et à piloter un plan de transport agile, tout en réduisant vos coûts logistiques. Il s’adresse autant aux PME et ETI qu’aux grands groupes, grâce à une grande capacité d’adaptation.


Les 5 piliers d’un plan de supply chain performant  

Un plan supply chain efficace repose sur une coordination fine entre la demande, l’approvisionnement, la production, les arbitrages et la distribution. 5 piliers contribuent à améliorer la résilience globale de la chaîne.<

1. Planification de la demande

Planifier la demande consiste à prévoir les ventes au plus juste pour anticiper l'allocation des ressources, l’utilisation des stocks et des capacités.

Un Demand Planning performant combine :

  • des données historiques ;
  • des signaux des marchés ;
  • l’étude de la saisonnalité ;
  • les inputs commerciaux.

Aujourd’hui, les leaders utilisent des modèles statistiques ou IA pour réduire l’erreur de prévision, limiter les ruptures et mieux dimensionner les stocks de sécurité.

2. Planification de l’approvisionnement

Dit sourcing ou procurement en anglais, l’approvisionnement doit avoir pour objectif de : 

  • sécuriser les fournisseurs ;
  • garantir la disponibilité des matières premières ;
  • minimiser les frais d’achat.

 

Ainsi, il est fondamental de définir les besoins, d’ajuster les niveaux de stock, de sélectionner les fournisseurs selon des critères précis et de bien gérer les délais.

Bonnes pratiques : les entreprises performantes diversifient leurs sources critiques, suivent les risques géopolitiques et utilisent des tableaux de bord intégrant prix, lead times et indicateurs ESG.

 

3. Planification de la production

Ici, il s’agit d’orchestrer les capacités, les ressources machines et la main-d'œuvre pour livrer sans surcharger les ateliers.

La planification de la production transforme la demande prévue en ordres réalisables : ordonnancement, contraintes machines, tailles de lots, gestion des goulets d’étranglement. Une bonne synchronisation en production implique un approvisionnement avec moins d’encours, de temps d’attente et de frais de changement.

 

4. Planification des ventes et opérations

Dans le but de construire un plan unique entre plusieurs services (ventes, supply chain, finance et direction générale), le S&OP coordonne les volumes sur un horizon à moyen terme. L’IBP va plus loin en intégrant budgets, décisions stratégiques, marges, capacités futures et scénarios. Ce processus permet d’arbitrer entre rentabilité, service client, coûts et risques pour des prises de décision éclairées.

5. Planification logistique

Enfin, une planification logistique doit acheminer les produits au moindre coût, dans les bons délais et avec la plus faible empreinte CO₂. Elle s’appuie sur un TMS ou un module d’optimisation pour choisir les modes de livraison (route, rail, maritime, aérien), consolider les flux, optimiser les chargements et réduire les km à vide. Elle coordonne la distribution, les plateformes, le dernier kilomètre et les fenêtres de livraison.


Les étapes clés pour concevoir un système de planification efficace  

Un système de planification performant repose sur la qualité des données, une gouvernance solide, des outils intégrés et la capacité à scénariser les aléas. Voici les étapes à suivre pour bâtir une organisation réellement pilotable.

1. Collecter et consolider les données

Une base de données fiable et homogène est fondamentale à tout système de planification. En premier lieu, celle-ci repose sur la qualité du système d’information interne :

  • l’ERP : commandes, prévisions, comptabilité, etc. ;
  • le TMS : capacités de transfert, suivi en temps réel, délais, ETA, etc. ;
  • le WMS : gestion des stocks, inventaires réels, mouvements, réceptions…


En deuxième lieu, la planification se base sur les sources externes : tendances marché, météo, prix carburant, incidents logistiques, etc.

L’objectif est d’éliminer les silos et de créer une « single source of truth » (une seule source de vérité) exploitable pour la prévision ET l’exécution.

2. Définir la gouvernance et standardiser les processus

Tout système de planification efficace s’appuie sur des responsabilités claires et des workflows formalisés. Il s’agit de définir :

  • Qui valide les prévisions ?
  • Qui arbitre les priorités (ventes VS. production VS. acheminement) ?
  • Comment les données sont mises à jour ?
  • Quelles escalades sont prévues en cas de rupture ou d'écart critique ?

Ainsi, les processus enregistrent moins de frictions, deviennent plus prévisibles et engendrent une prise de décision plus rapide et plus pertinente.

3. Assurer visibilité et traçabilité

La visibilité permet d'identifier les risques avant qu’ils ne deviennent coûteux. Les dashboards (tableaux de bord) doivent couvrir les KPIs les plus pertinents pour l’activité :

  • le taux de service ;
  • l’exactitude de la prévision (écart entre ce qui était prévu et ce qu’il s’est réellement passé) ;
  • le niveaux de stock (global et critique) ;
  • les capacités logistiques (disponibilité d’emplacements, de véhicules, etc.) ;
  • les coûts de distribution.

Un bon système affiche les alertes en temps réel et propose des vues consolidées afin de faciliter les arbitrages sur l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement.

4. Favoriser l’agilité et scénariser les opérations

Les aléas étant désormais constants, la planification doit intégrer la simulation à travers :

  • des stress-tests : incidents fournisseurs, surcharge, variation brutale de la demande ;
  • des scénarios S&OP ;
  • des plans de contingence par produit, région ou fournisseur.

Cette scénarisation a pour objectif d’anticiper l’impact de tout type d’imprévu. Ainsi, il devient plus facile de préparer des plans B et de réduire le temps de réaction de la supply chain en cas de crise.

 

5. Intégrer l’IT dans la logistique

La performance finale dépend de l’intégration entre planification et exécution. Un système efficient repose sur :

 

  • un APS pour générer des prévisions avancées, des plans et des scénarios ;
  • un TMS pour optimiser les routings, les capacités et les coûts ;
  • un WMS pour fiabiliser les stocks ;
  • des modules spécifiques comme la prise de rendez-vous quai, la gestion des chargements ou l’optimisation de tournées.

 

 

Comment choisir le bon outil de planification (TMS / APS / module Planning) ?  

Le choix d’un outil de planification impacte directement la performance et la résilience de la supply chain.

6 critères à évaluer

Pour vous assurer que l’outil ne soit pas un simple logiciel de gestion, mais un véritable levier stratégique, vous devez analyser plusieurs aspects :

 

  1. Volumes et scalabilité : l’outil doit supporter la charge actuelle et pouvoir accompagner la croissance de l’entreprise (nombre de commandes, lignes, sites).
  2. Modularité : possibilité d’activer ou de désactiver des modules selon les besoins (organisation des tournées d’enlèvement ou de livraison, production, S&OP, rendez-vous quai).
  3. Intégration ERP : synchronisation fluide avec l’ERP pour éviter les doublons, assurer la qualité des données et automatiser les flux.
  4. Visibilité de bout en bout : tableau de bord consolidé, suivi des KPIs, alertes temps réel, prévisions et scénarios.
  5. Compatibilité entre transport, entrepôt et quai : coordination des opérations logistiques, gestion des chargements, prise de rendez-vous quai et suivi des capacités.
  6. Reporting et analyses : génération de rapports personnalisables, suivi des dépenses, délais, bilan carbone et performance par SKU ou site.

Pourquoi un outil comme celui de Shiptify peut faire la différence ?

Ce TMS cloud combiné à un module de prise de rendez-vous quai illustre parfaitement la modularité et l’intégration nécessaires aujourd’hui :

  • Coordination fluide entre planification des tournées et opérations entrepôt : finis les retards liés à des rendez-vous mal synchronisés.
  • Scalabilité : Shiptify s’adapte aux pics saisonniers ou à l’extension du réseau logistique.
  • Tableaux de bord consolidés : visualisation simultanée des KPIs stock et flux sortants, avec la possibilité de paramétrer d’autres indicateurs.
  • Réduction des coûts et des émissions carbone : optimisation des tournées et des créneaux, meilleure utilisation des capacités.
  • Adoption simplifiée : une interface unique pour différents métiers, facilitant l’appropriation par les équipes.

 

Meilleures pratiques à adopter et erreurs fréquentes à éviter dans la planification d’une supply chain

En planifiant une chaîne d’approvisionnement, de nombreuses entreprises commettent des erreurs Le tableau suivant résume celles-ci et vous oriente vers les bonnes pratiques.

 

Erreurs fréquentes

Bonnes pratiques

Planifier de manière isolée

  • Intégrer Demand Planning, approvisionnement, production, transport et entrepôt.
  • Synchroniser ERP / APS / TMS / WMS.
  • Organiser des revues S&OP/IBP.

Se baser uniquement sur les données historiques

  • Ajouter des signaux externes (météo, prix, marché).
  • Réaliser des simulations réalistes (ruptures, pics, retards).

Négliger l’adoption utilisateur

  • Former les équipes et les impliquer dès le départ.
  • Accompagner l’appropriation terrain.
  • Documenter les usages clés.

Sous-estimer les KPIs et les révisions régulières

  • Suivre les bons indicateurs (OTIF, forecast accuracy, coûts, CO₂, taux d’utilisation).
  • Planifier des revues périodiques.

Ignorer la qualité et la centralisation des données

  • Définir des contrôles qualité
  • Réaliser des inventaires réguliers, sans bloquer l’activité.
  • Rassembler les données dans une source unique.
  • Automatiser la collecte.

Sous-estimer le transport dans la planification

  • Intégrer capacités véhicules, disponibilités chauffeurs, contraintes mode d’acheminement via un TMS et un module de rendez-vous quai.

Oublier les plans B et les scénarios de contingence

  • Prévoir des stocks tampons, des fournisseurs alternatifs, des itinéraires de secours, des analyses d’impact et des stress-tests.

Exclure fournisseurs et partenaires logistiques

  • Partager les prévisions.
  • Co-construire les plans de capacité.
  • Utiliser une plateforme collaborative multi-acteurs.

Oublier de documenter workflows et arbitrages

  • Standardiser les règles (priorités, alertes, escalades, rôles).
  • Assurer une documentation accessible et maintenue à jour.



Perspectives : vers un supply chain planning intelligent et durable ?

La planification supply chain évolue vers des modèles plus intelligents, plus anticipatifs et plus responsables. L’IA et l’automatisation transforment la capacité des entreprises à prévoir la demande, à ajuster leurs stocks en conséquence et à absorber les aléas, grâce à un suivi proactif, en temps réel.

 

Les enjeux ESG (RSE) prennent aussi du poids : il faut désormais réduire les émissions de gaz à effet de serre en limitant les trajets à vide et en optimisant l’utilisation des ressources.

 

L’anticipation devient alors un véritable avantage concurrentiel. Elle améliore la maîtrise des dépenses, fluidifie les opérations et renforce la résilience face à l’incertitude.

Les entreprises peuvent (et doivent !) s’appuyer sur des solutions adaptées, comme un TMS nouvelle génération ou un système de prise de rendez-vous quai, à l’instar de Shiptidock, pour synchroniser transport, entrepôts et clients BtoB.

En définitif, retenez que la supply chain de demain sera plus agile, plus connectée et plus durable… à condition de s’y préparer dès maintenant.


FAQ

Qu'est-ce qu’une planification end-to-end de la supply chain ?

La planification end-to-end de la supply chain est une approche globale qui consiste à synchroniser tous les maillons : prévisions, approvisionnements, production, transport et livraison. C’est une vision unique, cohérente et en temps réel qui a pour but de décider vite, de réduire les ruptures, comme les surcoûts.

 

Comment optimiser la supply chain à l’ère digitale ?

En s’appuyant sur des données fiables, sur l’automatisation, sur des logiciels avancés (APS, TMS, WMS), sur une bonne collaboration entre équipes internes, clients et prestataires, ainsi que sur des scénarios prédictifs. Digitaliser une chaîne logistique améliore l’anticipation, la précision et la réactivité.

 

Qu’est-ce que SCP ?

SCP signifie Supply Chain Planning. Il regroupe les méthodes et outils qui permettent de prévoir, planifier et orchestrer les flux pour livrer au bon moment, au bon coût et au bon niveau de service.

 

Qu’est-ce qu’un Supply Planner ?

Le Supply Planner est le professionnel chargé de planifier les besoins, d’ajuster les approvisionnements, d’anticiper les aléas et de garantir la disponibilité des produits. Il assure la coordination entre ventes, production, entrepôt et transport pour maintenir un flux fluide et fiable.

 

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